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Fleuron économique de Pérols : Provibat fête ses 50 ans
Quand on songe que l’espérance de vie d’une entreprise est de 12 ans et demi, on mesure la prouesse.
A Pérols, on joue au football depuis 1684
Comment on va pouvoir se la péter dans les tribunes du nouveau stade du MHSC ! Osez les rageux dire que Pérols n’a pas assez le foot dans le sang pour accueillir un vrai stade de foot pro !
Attention, on ne parle pas du siècle dernier là, mais de l’époque de Louis XIV. L'époque des mousquetaires et d'Angélique Marquise des anges, tout ça... Même pas les courses camarguaises existaient. Même pas le ballon était gonflé à l’air, mais rempli avec de la paille du paysan. Genre tu fais une tête, t’as plus de tête !
On est en 1684, le curé de Peyrolz (on écrivait comme aç) a tellement le seum qu’il écrit une lettre à son l’évêque pour faire sa poukave parce que les villageois foutent de dawa les jours sacrés :
« On danse quelquefois les saints jours et l’on joue souvent, surtout au ballon, même devant l’église où on ne peut prier Dieu pour lors, tant à cause du bruit qu’on fait qu’à cause des blasphèmes, que des paroles sales qu’on y profère hautement ».
Vous avez bien lu « surtout au ballon ». Ok, ca devait plus ressembler à truc de badass avec des règles zarbi mais au moins on une preuve écrite. Le club de Montpellier à été crée en 1914, nous nos mecs jouaient déjà en 1684. C’est qui les crédibles ?
Après COVID : environ 500 emplois supplémentaires à Pérols
S’il y a une commune qui peut nourrir des lueurs d’espoir économique pour l’après Covid, c’est bien la nôtre.
On est déjà verni avec le futur stade de foot du MHSC, le futur musée de sport (Louis Nicollin), un futur hôtel au parc expo (lui-même en rénovation), une possible arène couverte du MHR,… voilà qu’ont débuté les travaux d’un "mini-liner", immeuble commercial de 5900 m2 de 19m de haut (5 étages) derrière Alinéa, au 36 avenue Louis Pasteur. A la clef, environ 500 emplois annoncés.
Pas de bol pour les théoriciens du complot d’un Pérols aux mains de promoteurs allochtones, celui-là est 100% pérolien puisqu’il s’agit de Terres du Soleil Promotion, société installée à Pérols depuis 14 ans (siège dans l’avenue Alfred Sauvy). Donc du local avec les ressources afférentes pour notre commune.
La 1er étape consiste à permettre une déviation de l’avenue Georges Frêche vers l’immeuble afin de réaliser un accès au projet, et éviter la circulation par derrière dans le quartier du Pioch. La 2nd étape sera la démolition du bâti existant. Ensuite viendra la construction d’un immeuble (bureaux et commerces) et une aire de stationnement.
Ce projet s’inscrit en réalité dans le projet Ode (Acte 2), malgré l’annulation de celui de la Shopping promenade (Acte 1). La construction imminente d’une résidence senior (on en reparlera ici), à 200m, en est un autre prolongement.
Pérols avance, les vendeurs de pessimisme n’ont qu’à bien se tenir !
Histoire de Carnon, ou le grand ratage pour Pérols
Après Lattes (>> voir notre article), on poursuit notre saga dédiée aux voisins. Cette fois, cap au sud à Carnon !
C’est histoire d’un énorme échec pour notre commune. A défaut du être devenue la station balnéaire privilégiée des habitants de Montpellier (elle s’est faite damner le pion par sa voisine de Palavas), Carnon aurait dû logiquement être incorporée à Pérols pour devenir "Pérols-Plage" à l’image de Frontignan-Plage ou Marseillan-Plage. Historiquement, il ne fait aucun doute que les pères fondateurs sont péroliens.
Si on omet l’existence d’une Baronnie de Carnon au Moyen Âge dont il ne subsiste aucune trace matérielle, pas plus qu’une commanderie hospitalière (on imagine d’ailleurs mal des châtelains ou une troupe survivre dans cet enfer de moustiques et de puanteur d’eaux saumâtres), Carnon n’a pas de racines propres. Seulement un nom de lieu-dit à la signification pas vraiment élucidée.
Les archives sont formelles : les péroliens furent les premiers colons à s’installer et viabiliser l’endroit dans la première moitié du 19ième siècle. Nous avions déjà évoqué le cas du curé de Pérols (>> voir notre article), nous pourrions aussi citer d’autres pionniers : Jean Jouvenel, Pierre Joubert, Léopold Estienne (futur passeur du bac), la famille Grasset, la famille Benezech,…
A l’époque, les seules constructions sont des cabanes précaires de pêcheurs. Mais deux événements vont bouleverser l’histoire locale : l’économie viticole en pleine expansion et le thermalisme balnéaire. D’un côté, la recherche d’espace pour la vigne des sables (plus résistantes au phylloxéra). De l’autre, la demande d’une clientèle adepte des bains de mer.
Certains habitants de Pérols flairent l’opportunité et se mettent à planter leurs vignes à Carnon rive est (même le célèbre Gaston Bazille propriétaire du chai de Pérols – future médiathèque – est de la partie). D’autres construisent des buvettes et chalets de plage rive ouest qui devient le cœur historique (la "Rue du Vieux Village" en témoigne aujourd'hui) avec la création d’un grand jardin publique hupé (Jardin du Bosquet) aux arbres exotiques.
Le plus célèbre pionnier pérolien fut sans aucun doute Pierre Benezech. Marin pêcheur, il construit une petite buvette en 1838 qui deviendra un énorme établissement réputé "le Kursaal Maison Benezech", avec sa fameuse bouillabaisse, qui rayonnera jusque dans les années 40.
Ce sont des générations de familles de Pérols qui seront les passeurs entre les deux rives du Canal Rhône-Sète sur le bac prévu à cet effet, avant la construction du Pont de Carnon en 1921.
D’abord rattaché à Pérols dans les guides touristiques, le hameau de Carnon devient Carnon-les-Pérols. Expansionnisme oblige, il prend le nom de Carnonville-la-mer pour coller à l’image d’une station balnéaire haut de gamme.
Mais l’arrivée d’un notable auvergnat du vin en 1919, André Grassion, va éclipser définitivement le rôle des pionniers péroliens en monopolisant tous les lauriers de fondateur de Carnon. Lui et sa famille par alliance (famille Cibrand) rachètent toutes les terres de la rive est, construisent un pont sur le grau pour relier les deux rives, et finalisent le déploiement urbain de la station. La page pérolienne de Carnon se referme et se noie définitivement dans l’oubli.
Economie : un Pérols libéral, pas marxiste !
Mais si ça vous déplait, vous pouvez toujours aller dans la commune voisine de Montpellier ; vous trouverez des plaques de rue Trotski, Proudhon, Robespierre... Vous avez même une statue de Mao, le plus grand génocideur marxiste de l'Humanité, et on devrait avoir prochainement un pont Karl Marx sur l'A9.
Chose rare, presque "politiquement incorrect" : un quartier entier de Pérols porte exclusivement des noms de penseurs libéraux, partisans de l’économie de marché et l’entreprise. Certes, c’est un quartier d’affaires (Parc d’activités Aéroport) mais d’autres maires, en d'autres circonstances, ne se seraient pas privés d’y coller des noms pour leur propagande anti-capitaliste.
Robert Malthus : fondateur du Malthusianisme économique (rareté de l'offre).
Jean Baptiste Say : promoteur des positions libérales.
Jeremy Bentham : précurseur du libéralisme.
John Locke : penseur du libéralisme.
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Enfin elle est là ! Bientôt la fin de la galère !
On n’y croyait plus, on désespérait même (>> voir notre ancien article) ; presque deux ans entre son annonce et son installation, mais là voilà enfin !
Ce sont les commerçants du village qui vont pouvoir enfin pousser un « ouf » de soulagement ; finies les scènes ubuesques du boucher ou du boulanger avec son sabot carte bleue dehors pour capter le réseau !
Et on pourrait dérouler la liste encore longue :
Finie la ménagère en pyjama dehors pour tenter de récupérer en urgence son code de validation d’un achat sur le web !
Fini le coup de fils urgent à recevoir sur son mobile, dont dépend votre santé ou votre vie professionnelle !
Fini le livreur à domicile qui n’arrive pas à vous joindre parceque votre sonnette ne fonctionne plus !
Finie la galère quand votre box ne fonctionne plus et que vous ne pouvez plus utiliser le fixe !
etc, etc…
Une plus juste répartition de l’effort collectif aussi, et donc la disparition d’une forme de "séparatisme" des quartiers excentrés, car le centre ville densément peuplé héberge déjà une antenne dans le clocher de l’église.
Pour rappel, cette nouvelle antenne va palier au démontage de l’ancienne sur la cave coopérative qui couvrait une bonne partie du centre du village, lieu névralgique de l’activité de la commune. Elle viendra compléter un maillage d’autres antennes déjà existantes (et à venir) pour une couverture complète de la commune.
Histoire de Lattes : à la recherche de l'âme perdue
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Erratum : Pérols a été espagnole 357 ans et pas 145 !
Pérols continue sa mise en conformité écologique
Stade à Ode : la démagogie des opposants commence





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La commune de Pérols officiellement choisie !

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Pérols se pare de ses habits de Noël
Bio & Sens de Pérols, c'est bien fini !
On a lu le roman qui se déroule à Pérols
Point de vente à Pérols :
- Bureau de tabac, 5 rue place Folco Baroncelli
- Loto Presse, 40 Grand rue
- Boucherie Vitou, 32 Grand Rue [...] Lire l'article en entier
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